Éco responsabilité
Protéger l’environnement et cultiver de manière durable,
c’est dans nos valeurs.
Avec la population mondiale croissante et les conséquences des changements climatiques qu’on connaît, on souhaite avoir un impact positif et contribuer à un avenir plus vert pour les générations à venir. Si vous avez à cœur d’acheter des légumes de serre d’ici, c’est que vous partagez nos valeurs.
Chez Gen V, on fait tout en notre pouvoir pour faire de l’agriculture de manière responsable. Bien sûr, on n’est pas parfaits. On ne le sera jamais, mais on ne détournera jamais notre regard des problématiques actuelles et futures. C’est pourquoi on pose des actions concrètes.
- Réutiliser l'eau, goutte par goutte
Notre culture hydroponique utilise 90 % moins d’eau que l’agriculture en champ.
Moins d’eau, parce qu’elle fonctionne en circuit d’eau fermé : on récupère et réutilise l’eau à chaque récolte. Seule l’eau perdue par évapotranspiration est remplacée. Tout nouvel apport est complété avec de l’eau puisée dans l’environnement et traitée sans produits chimiques. Il n’y a aucun rejet d’eau dans la nappe phréatique, ce qui pourrait impacter les sols et les cours d’eau avoisinants. On récupère de plus l’eau de pluie qui servira à irriguer nos plants. Rien n’est gaspillé, toute l’eau qui n’est pas absorbée par nos plants est utilisée encore et encore.
Bon à savoir
Utilisation de l'eau pour produire 1 kg de légumes en serre vs en champ
Concombres : 10 L vs 205 L
Laitues : 5 L vs 96 L - Diminuer la surexploitation des sols
La population mondiale est en croissance rapide, et la production alimentaire aussi.
On cherche donc à nourrir collectivement le plus de gens possible en exploitant les sols le moins possible. En cultivant en serre, hors sol, on optimise l’espace de nos récoltes. L’agriculture en champ est souvent intensive et contribue à l’appauvrissement des sols et des ressources. Alors que l’agriculture en serre permet de produire plus toute l’année, sur une même superficie de production, tout en étant à l'abri des insectes, des maladies et des intempéries. En plus, on n’a pas besoin de contrer les mauvaises conditions climatiques, puisqu’on crée nos propres conditions pour faire pousser des légumes dans un environnement idéal.
- Offrir des légumes sains, sans herbicides et sans OGM
On souhaite avant tout contribuer à une alimentation saine, sans l’intervention de procédés chimiques.
Pour notre culture hydroponique, on cultive sans herbicides, en plus d’éliminer l’utilisation systématique de fongicides et d’insecticides. Et comme nos laitues sont cultivées dans l’eau, elles ne sont pas recouvertes de saleté. Pour notre culture biologique, on croit en la lutte parasitaire intégrée. C’est notre façon de dire qu’on fait tout ce qu’on peut pour éviter l’utilisation de pesticides. On a recours, par exemple, à de « bons » insectes pour contrôler les « mauvais » insectes. Pour nous, des légumes sans OGM, c’est non négociable pour un futur écoresponsable. On choisit uniquement des variétés de semences sans OGM. Des légumes de la nature, ça se doit d’être le plus naturel possible.
- Choisir des énergies renouvelables
Nos légumes sont verts, nos énergies aussi. Elles sont même renouvelables.
On favorise la biomasse et l’électricité. Alors que le gaz naturel est parfois utilisé lorsque l’emplacement ne peut nous permettre autrement, aucune de nos installations n’est chauffée au mazout, une des énergies les plus polluantes. On est dans un climat nordique, il ne faut pas l’oublier. Alors, nos besoins en chauffage sont assez importants. Avec ces énergies renouvelables, on économise en moyenne annuellement 154 579 tonnes de GES (tCO2e).
Avec la biomasse, on s’inscrit même dans une économie circulaire, puisqu’on valorise les déchets forestiers qui sont produits en milieu urbain. On utilise des copeaux de bois qui auraient autrement été jetés. On en fait une combustion qui chauffe des tuyaux d’eau qui, eux, accumulent et redistribuent la chaleur dans les serres. - Limiter le gaspillage alimentaire
Notre objectif, c’est de garder nos légumes plus frais, plus longtemps pour réduire le gaspillage alimentaire, un phénomène qui prend de l’ampleur en Amérique du Nord.
Dans cette optique, on a testé plusieurs options d’emballages avec des experts en écoconception. Le plastique s’est avéré être la matière la plus performante pour protéger la fraîcheur de nos légumes : il augmente leur durée de vie en créant une barrière qui conserve l’humidité. Comme une miniserre, quoi! Ce qui nous motive avant tout, c’est de réduire le gaspillage alimentaire, ici et chez vous. Pour emballer nos laitues, la coque qu’on utilise est facilement recyclée en Amérique du Nord, en plus d’être faite de matières recyclées et recyclables. Comme nos contenants restent très propres, ils peuvent être recyclés jusqu’à huit fois. De plus, sa conception utilise le moins de matière brute possible et son poids est réduit au minimum, on diminue donc la quantité de plastique nécessaire.
Pour emballer nos miniconcombres, on les dépose dans une barquette en pâte de fibre de papier 100 % compostable. Ils sont enveloppés d’une pellicule plastique recyclable pour les protéger et pour préserver leur humidité. Les étiquettes d’identification collées sur nos produits sont toutes recyclables.
On reste engagés dans l'exploration d'options plus écologiques qui nous permettent d'atteindre nos objectifs en matière de déchets alimentaires.